
Dans son rapport publié ce 02 novembre 2020 à l’occasion de la journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes dans le monde.
En RDC, plus precisement à Kolwezi, la liberté d’expression et la liberté de presse semblent etre reduites par les pressions, les intimidations, les emprisonnement injuste des journalistes… à cela s’ajoute la destruction méchante des equipements d’enregistrement.
Cependant, certains profesionnels des medias estiment qu’il faut enquêter sans délai sur ces actes et les punir sans faiblesse puisque la plupart des crimes commis contre les chevaliers de la plume et du micro restent impunis.
Plus de 85% de tous les meurtriers des journalistes n’ont fait l’objet ni l’enquête ni des poursuites pour leurs crimes.
Les meurtres, l’emprisonement et les menaces contre les journalistes constituent donc une grave violation de la liberté d’expression.
Rappelons que cette journée a été instituée par l’UNESCO pour decourager toute forme d’attaques et violences perpétrées contre des journalistes et travailleurs des medias; et a été choisie en mémoire de deux journalistes assassinés le 02 novembre au Mali.
Wangu