Plusieurs séparateurs sur le pont TSHATA, au quartier Latin, sont dispersés suite aux accidents. La plupart ont quitté leurs emplacements et présentent un danger permanent sur la chaussée. Au delà de la pente, le risque devient croissant avec les conducteurs dont la plupart ne respectent pas le code de la route.
Actuellement, traverser la pente qui se décline sur le pont TSHATA, sur l’avenue UNGUNGANDU, celà n’est pas aisé pour tous les conducteurs. Un grand calvaire pour les voitures manuels qui font parfois marche arrière. Et au tombé du soleil, les chauffeurs se heurtent dans les séparateurs en béton armé. Une fois décalés, ces séparateurs deviennent des causeurs d’accidents sur cet axe.
Eddy waza, habitant de ce coin plaide pour la pose des lampadaires afin de réduire sensiblement les cas d’accident sur l’avenue Ungungandu. « Les automobilistes doivent faire connaissance du code de la route. Surtout, ils doivent éviter de rouler à vive allure à ce niveau. À chaque fois qu’il y a un accident les séparateurs sont pulvérisés. Nous demandons aux autorités d’implanter des lampadaires ici. Cette une avenue est d’une importance capitale, car elle sert de contournement »
Prince Koya est chauffeur, de temps en temps, il a de la peine pour traverser ce pont. Pour lui, l’ingénieur derrière cet ouvrage devrait réduire davantage cette pente.
Les piétons payent aussi le prix. Ils sont par moment percutés. Certains observateurs proposent sur tronçon routier qui sert de contournement un système des séparateurs modulaires, à l’image de balises posées sur la piste d’un aéroport.
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